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Assurance-vie

Assurance-vie

À vrai dire, l’assurance-vie est une sorte d’épargne. Elle est basée par le versement d’une somme d’argent au sein d’un assureur. Le mode de versement peut se réaliser de manière unique, régulière ou libre, suivant le type du contrat. Pour de diverses raisons, de plus en plus de personnes recourent actuellement à ce genre de pratique. L’opération permet facilement la transmission d’un capital à un bénéficiaire. Elle permet également sa création qui n’a pas forcément des objectifs bien définis. Ainsi, les argents économisés peuvent vous servir de pension pendant votre retraite ou être utilisés dans le financement de l’étude de vos enfants. Avec les rachats, c’est un mode de coopération qui produit des revenus. Si vous l’adoptez avec une sortie en rente, vous pouvez en espérer des salaires supplémentaires. En France, les assurances-vie occupent les 57 % des 2 600 milliards d’euros d’épargnes dont font preuve les ménages.

  1. Bon à savoir sur le contrat d’une assurance-vie

Les mineurs âgés moins de 12 ans ainsi que les majeures sous-tutelles ne peuvent pas souscrire une assurance de décès. Il est possible que la validation du contrat nécessite l’agrément de l’assuré, c’est-à-dire, le sujet du risque de décès ou de vie. Dans un contrat pareil, il existe toujours un assureur. C’est la personne morale chargée de couvrir les risques. Ses services sont compensés par les versements préalables des primes. On nomme souscripteur la personne qui a sollicité la réalisation du contrat. Cet individu assure le paiement des primes et décide le nom du bénéficiaire de son choix. C’est évidemment le bénéficiaire qui profite de toutes les couvertures capitales stipulées par l’accord quand les incidents se produisent.

  • Quelques remarques sur la clause bénéficiaire

Concernant la clause bénéficiaire, dans une assurance-vie, il est indispensable de bien déterminer cette section afin d’éviter les complications dans le temps à venir. C’est dans cette section que vous devez mentionner clairement la procédure de répartition des bénéfices. Pour cela, vous pouvez désigner plusieurs bénéficiaires et choisir par exemple le mode « à parts égales » ou avec des pourcentages de part.

Dans tous les cas, n’oubliez pas d’y mettre un bénéficiaire de second rang au cas où le premier serait décédé ou discrédité préalablement. À savoir que la qualité du bénéficiaire tient compte dans ce type de contrat. C’est pourquoi, il vaut mieux par exemple indiquer « à mon épouse » si vous voulez que votre dernière femme profite des indemnisations. Mais également, il est préférable d’appliquer le mode de distribution à parts égales afin d’éviter le possible recourt au droit successoral vis-à-vis du décès de l’un des bénéficiaires du premier rang.

  1. Les différents frais annexes qu’implique une assurance-vie

Si vous ne connaissez rien dans ce domaine, il est plus érudit d’engager un expert en la matière pour gérer la rentabilité et la négociation des divers frais qui entrent en cause dans l’élaboration du contrat. En général, il existe obligatoirement 3 types de frais dont :

  • Les frais d’entrée que vous devez payer dès la première intégration à la pratique et à chaque moment de versement,
  • Les frais de gestion sur les encours qui changent largement d’un type de contrat à un autre. Son taux s’annonce plus onéreux avec les contrats en unités de compte et plus faible avec les contrats en euros.
  • Les frais d’arbitrage qui couvrent l’intervention quand vous décidez de changer de support d’épargne.

À connaitre que le montant du capital minimal dépend largement de votre type de contrat.

  1. Les différents types d’impôts qui touchent l’assurance-vie

Avec les contrats mono-support en euro, les intérêts qui en ressortent sont imposables. L’autorité détermine chaque année la valeur de cette fiscalité pendant la période de versement des rentes. Des prélèvements sociaux touchent également chaque année les intérêts de la partie en euros. Son versement se fait au moment de l’inscription en compte. Auparavant, ce processus n’a pas eu lieu que durant le retrait partiel et le dénouement d’un contrat multi support. Et enfin, le capital versé aux bénéficiaires, suite au décès du souscripteur est également soumis à un prélèvement social décidé suivant le taux en vigueur au moment du décès.

  1. L’imposition en cas de vie

Nombreuses personnes pensent qu’il est impossible de tirer les sommes versées dans l’assurance-vie qu’après 8 ans. C’est qui est une idée reçue totalement fausse. En effet, vous pouvez réaliser un retrait partiel de votre épargne même si votre inscription n’a pas encore duré pendant 8 ans. Mais dans ce cas, il faut s’attendre à une fiscalité plus onéreuse. C’est après 8 ans que le taux d’imposition d’une assurance-vie est le plus profitable.

  1. L’impôt en cas de décès

La fiscalité qui concerne le cas du décès varie largement selon plusieurs faits. Son montant dépend de la période de souscription du contrat. Pour cela, il est indispensable de savoir si l’acte a été créé avant ou après le 20 Novembre 1991. C’est aussi essentiel de tenir compte du moment où se débute le versement. Sur ce propos, vous devez vérifier si les paiements ont été réalisés avant ou après 13 Octobre 1998. Mais également, le taux de cette imposition est calculé suivant l’âge de l’assuré au moment où celui-ci a effectué son premier versement.

  1. La fiscalité se rapportant aux sorties en rente

Dans une assurance-vie, vous pouvez vous décider de convertir votre capital en rentes si vous voulez espérer obtenir des revenus additionnels. Pour faire, vous avez le choix d’adopter une rente viagère ou une rente certaine, c’est-à-dire, le versement des redistributions est préalablement connu. Avec la première pratique, la valeur de l’imposition est tranchée suivant l’âge du crédirentier au moment du premier versement de la rente viagère. Tandis qu’avec la deuxième opération, vous bénéficiez d’une totale exonération d’impôts.